Article 50

Les campagnes présidentielles ont battu leur plein de promesses sans jamais vouloir aborder une question cruciale : De quels pouvoirs dispose encore le gouvernement français dans l’Europe de Maastricht? Certains hommes de l'hexagone, toutefois, ont décidé de "dire la vérité aux Français ... en nous informant de l'Article 50 de l’UE du 17 décembre 2007. » Dans ce sens, François Asselineau, ancien Délégué général à l’intelligence économique à Bercy refuse l’asservissement de la France. Président de l'UPR, Union du peuple pour rétablir la démocratie, ce haut fonctionnaire d’Etat nous pose la question fondamentale qu’aucun parti ni aucun média ne veut poser : Avons-nous oui ou non intérêt à rester encore dans l’Union européenne ?


Article 50


1. Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union.

2. L’État membre qui décide de se retirer notifie son intention au Conseil européen. À la lumière des orientations du Conseil européen, l’Union négocie et conclut avec cet État un accord fixant les modalités de son retrait, en tenant compte du cadre de ses relations futures avec l’Union. Cet accord est négocié conformément à l’article 218, paragraphe 3, du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. Il est conclu au nom de l’Union par le Conseil, statuant à la majorité qualifiée, après approbation du Parlement européen.

3. Les traités cessent d’être applicables à l’État concerné à partir de la date d’entrée en vigueur de l’accord de retrait ou, à défaut, deux ans après la notification visée au paragraphe 2, sauf si le Conseil européen, en accord avec l’État membre concerné, décide à l’unanimité de proroger ce délai.

4. Aux fins des paragraphes 2 et 3, le membre du Conseil européen et du Conseil représentant l’État membre qui se retire ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil européen et du Conseil qui le concernent. La majorité qualifiée se définit conformément à l’article 205, paragraphe 3, point b), du traité sur le fonctionnement de l’Union européenne.

5. Si l’État qui s’est retiré de l’Union demande à adhérer à nouveau, sa demande est soumise à la procédure visée à l’article 49.


En exigeant que ce débat ait lieu, l’Union Populaire Républicaine œuvre et rassemble des Français, de droite et de gauche.Ce mouvement républicain -UPR- désire aller au fond des choses. Leurs analyses prouvent que la crise politique, économique, sociale et morale de la société française trouve justement son origine dans cette Union européenne qui nous asphyxie mais dont on nous prétend faussement qu’elle serait irréversible et non sujette à débat... L’UPR tient à redonner à la France sa vraie personnalité. Une conclusion, la France doit sortir de l'Union européenne.

François Hollande à Hombourg-Haut en Moselle le 4 mai 2012: Réconciliation, austérité et soumission démocratique du « jeu à la nantaise »


« Je représente ici la gauche, sans doute, mais déjà plus que la gauche. Je représente tous les républicains, qui sont attachés à des valeurs et des principes, à une conception de l’humanisme ... Et je veux aussi dire à ceux qui ne voteront pas pour moi qu’ils sont les bienvenus pour le redressement de notre pays ... Nous n’aurons pas besoin de rejeter ceux qui n’auront pas fait le même choix que nous. Nous aurons besoin de cette réconciliation, de ce redressement, de ce rassemblement … Vous n’êtes pas des citoyens de n’importe quel pays parce que vous êtes des citoyens de la République française. Et même si elle n’a pas fait suffisamment pour vous, vous devez donner tout ce que vous avez pour la République». 7 mai 2013: Où en sommes-nous en France depuis un 6 mai 2012 et un 7 mai 2007 pour une Europe 2030 ? Les français avec des peuples de l'Union Européenne (Malte, Chypre, Grèce, Italie, Portugal, Espagne, Slovénie, Serbie, Hongrie, Irlande, Angleterre, … n'ont-ils pas assez donné? L'Islande, relevée de la crise, tourne le dos à l'euro et ne plaide pas à une adhésion à l'UE. En visite officielle à Paris, le président Olafur Ragnar Grimsson, réélu en juillet dernier pour un cinquième mandat, défend la stratégie anti-crise adoptée dans son pays, qui pourrait inspirer les dirigeants européens. «Nous n'avons pas choisi la voie orthodoxe, se félicite le chef d'État, qui fut à l'origine des deux référendums sur l'indemnisation des clients étrangers d'Icesave, à chaque fois refusée. Nous avons laissé les banques faire faillite, instauré le contrôle des capitaux et n'avons pas appliqué de cure d'austérité comme il est imposé dans plusieurs pays européens, Nous avons veillé dans nos plans d'économies à préserver l'État-providence, en particulier sur l'éducation et la santé.» Si l'Islande s'est relevée aussi vite, c'est grâce à une forte dévaluation de sa couronne, qui a dopé les exportations. «De nombreux secteurs, la pêche, les nouvelles technologies, le tourisme, ont gagné en compétitivité et attractivité», rappelle le président. 26 février, au Palais de l'Élysée. Depuis, les islandais ont voté massivement pour la coalition du centre droit (51% des voix), un samedi 20 avril 2013, lors des élections législatives. Un résultat sans grande surprise pour les uns ou une sanction pour les autres, celle de la gauche au pouvoir depuis 2009, à l’origine d’une cure d’austérité dans le pays. (28,9% des voix).

Une messe européenne de Saint Benoît ou de Saint François est dite


Également possibilité de lire l’article de Yan Venier sur le web d’un socialisme authentique http://www.gr-socialisme.org/index.php?option=com_content&task=view&id=286 sans la crise de moralité passagère du parti socialiste: La première Dame Valérie Trierweiler n’est-elle pas accusée de détournement de fonds publics par Xavier Kemlin ? Deuxième plainte de l’héritier du groupe Casino dans une république réactivée à Hombourg-Haut en Moselle avec un chef de gouvernement (condamné en 1997) pour une embauche en qualité de DRH d’un ex-compagnon de vielles amitiés socialistes : Jérôme Cahuzac !?! Un homme lapidé par ses frères ! Souvenons-nous d’une autre histoire analogue, celle d’United Methodist Church N° 19 avril 2006 Méditation- Jésus et la femme adultère du Pasteur Robert Gillet


Nous avons d’un côté les pharisiens (politiques), pleins de leur savoir théologique (républicain), de leur suffisance doctrinale, rassasiés de leur pureté et sainteté, donneurs de leçon et pourfendeurs du péché… chez les autres. Pour eux, il n’y a pas photo : cette femme (cet homme devenu ministre du budget avec Moscovici) doit mourir selon la loi de Dieu (loi des conflits d’intérêts, du multi-mandats, ….) Ils sont sûrs de leur bon droit, convaincus de leur bonne raison, pleins de zèle au service de Dieu (de la république) et défenseurs de sa parole ; leur jugement est tombé et sans équivoque, infaillible et irrémédiable : la mort par lapidation.
Jésus refuse d’entrer dans un tel système de logique et de pensées. Certes la Loi de Dieu est là et ce n’est pas Lui qui va la contredire. …Jésus ne fait aucun compromis avec le péché, mais il va aimer et inviter cette femme à le suivre. Pas de longs discours théologiques, bibliques, pas de sermons, pas de reproches, très peu de mots mais beaucoup d’amour passe entre Lui et elle, parce qu’il veut l’amener au salut. Nombreux sommes-nous à être bien souvent comme ces pharisiens, pleins de zèle, mais d’un zèle amer. Pleins de certitudes et de vérités bibliques à la bouche mais de certitudes et de vérités qui enferment, accusent et emprisonnent. Nous ne savons pas aimer nos contemporains pour ce qu’ils sont. Nous les aimons mais uniquement pour les « évangéliser ». Nous les aimons pour en faire des chrétiens évangéliques comme nous, mais pas pour les amener au Christ. Cela, ce n’est pas aimer. Et au lieu de les amener au salut, nous leur donnons envie de ne pas être, surtout, comme nous. Nos églises évangéliques, et nous-mêmes, nous avons vraiment besoin de redécouvrir ce que c’est qu’aimer, ce que c’est qu’accueillir le pécheur, ce que c’est qu’être miséricordieux et compatissants.