Note 10

Démocratie* :

livre de Jurgen Habermas 2012 au sujet de la Constitution européenne : « Les élites politiques se mettent la tête dans le sable. Elles ne veulent pas démordre de leur projet d'élite et continuent de vouloir mettre sous tutelle les citoyens européens en les traitant en personnes mineures. Il y a là de l'effronterie. »Effronterie, en effet. Au fil des pages de son dernier essai, La Constitution de l'Europe, composé de différents textes et articles, Jürgen Habermas aiguise une critique virulente de « l'état pitoyable dans lequel se trouve aujourd'hui l'Union ». Le ton est souvent direct, parfois irrité, toujours motivé par l'urgence de la situation. En ces temps de crise et d'injustice sociale, le philosophe allemand, né en 1929, issu de l'école de Francfort et fervent défenseur de l'idée démocratique, épingle l'inquiétant fossé qui sépare l'Europe des gouvernements et l'Europe des peuples. Les premiers sont arrogants. Les seconds, fatigués. Comment les réconcilier ? En réintroduisant une bonne dose de démocratie au cœur de l'Europe, qui ne doit pas s'enfoncer davantage dans les sables mouvants « postdémocratiques »qui la menacent. Explosive depuis 2008, la crise économique a mis en évidence une grave erreur commise par le passé : « L'Union n'a pas été dotée de la capacité d'action politique qui aurait pu empêcher que les économies nationales dérivent les unes par rapport aux autres »,diagnostique Jurgen Habermas, qui ajoute aussitôt : «Les États de l'Union monétaire européenne ne pourront s'affranchir de l'emprise des marchés financiers que s'ils se dotent d'une politique commune. »Le problème est que ces États ne visent que leur intérêt national et peinent à parler d'une seule voix. Le chacun pour soi domine, mettant en mouvement des politiques « à courte vue et sans boussole ». Le philosophe-sociologue décortique ainsi la politique de la chancelière allemande Angela Merkel : « C'est à la hussarde qu'elle impose aux autres pays son propre modèle politique. » Le ton de la première partie de l'ouvrage, ironiquement intitulée « L'Europe de la République fédérale, ou de la perception autocentrée que l'Allemagne réunifiée a d'elle-même », est donné... Habermas critique les visions nationales, défend l'attachement à la démocratie au-delà de la nation — ce qu'il nomme « le patriotisme constitutionnel ». Inspiré par le cosmopolitisme de Kant, il propose d'ouvrir les frontières de la démocratie, à travers une «entité commune», « supranationale », une véritable « communauté cosmopolitique ». Ce à quoi il s'emploie dans un texte ardu, « La crise de l'Union européenne à la lumière d'une constitutionnalisation du droit international ».


Pour lutter contre « l'ascendant » pris par les marchés financiers sur la démocratie en recul, la politique en Europe doit redevenir majeure, c'est-à-dire première, autonome. Mise à mal par le règne des technocrates, elle doit retrouver le souffle qu'elle a perdu. En vue de rendre aux citoyens européens leur état de majorité. Pour Jürgen Habermas, héritier des Lumières, chacun accède à la majorité quand il utilise librement sa raison, quand il s'avère capable de communiquer, de s'ouvrir à la discussion publique. De Morale et communication(1986) à Vérité et justification(2001) en passant par la Théorie de l'agir communicationnel (1987), la communication est bien la clé de voûte de la philosophie d'Habermas, de sa vision de la vie sociale et politique. Ce n'est qu'à travers cette éthique de la discussion que le droit peut devenir universel. Ne désespérons donc pas, nous dit le penseur. Mettons-nous en route vers un destin européen enfin commun.Le 19/05/2012 Telerama n° 3253


Démocratie glocale : les forums sociaux mondiaux «face à cette civilisation de la marchandisation universelle, qui noie tous les rapports humains dans les «eaux glacées du calcul égoïste (Marx)» représentent avant tout un refus de ce monde pour une autre approche:«le monde n'est pas une marchandise!» On assiste à deux aspects du monde, à deux projets de civilisation et à deux échelles de valeurs qui s'affrontent de façon antagonique, parfaitement irréconciliable au seuil du XXIème siècle pour une «humanisation du monde - Sant'Egidio » ou confère l'article du groupe EELV des Pays de la Loire au sujet du nouvel aéroport dans le bocage nantais : deux visions du monde s'affrontent...


«Le travail pour la paix dans un monde multipolaire et déstructuré... rend nécessaire la synergie detoutes les énergies possibles... l'approche en synergie dans les processus de paix est essentielle pour donner une réponse aux grandes questions qui se posent au cours d'une négociation: c'est le nœud des garanties. La présence, au niveau institutionnel, des États, des Organisations Internationales, donne des garanties aux parties belligérantes... Une telle option se révèle également nécessaire dans le cadre du processus d'apprentissage de la démocratie. Il s'agit d'un long travail qui requiert le passage par l'acceptation du pluralisme politique, culturel, ethnique et religieux d'un pays. Au cours du processus de paix, il est fondamental de passer d'une culture de la guerre à une culture de la politique. Dans chaque conflit, il existe un problème de la «pathologie de la mémoire qu'il est nécessaire d’aplanir au cours des négociations par une adaptation à la vie civile et à la démocratie». Fondateur de Sant'Egidio et membre du gouvernement Monti au Ministère Coopération Internationale et Intégration. Leçons de démocratie


Démocratie locale«sans pluralisme » au sein des collectivités locales de Nantes-Métropole avec un Conseil Général du 44: Avec le ton très incisif dont il est coutumier dès qu’il est question d’aéroport, Philippe Grosvalet (élu et homme socialiste) apostrophe le candidat malheureux à la primaire d’Europe Écologie Les Verts :"Avant de délivrer des leçons de démocratie à nos concitoyens, pourquoi n’avez-vous (Nicolas Hulot ) su convaincre les électeurs de votre formation politique de vous faire confiance pour les représenter à l’élection présidentielle ?" Pas de démocratie sans pluralisme et sans force du partage : Une véritable démocratie, garantissant que les décisions politiques sont toujours conformes à l'intérêt général, aux équilibres écologiques et sont l'émanation d'une vraie volonté populaire, élaborée à travers de nombreux, intenses et authentiques débats entre les membres de la société.


Philippe Grosvalet est le Président du Conseil Général de Loire Atlantique. Cet homme socialiste du « jeu à la nantaise » se retrouve être un des sponsors artisan d'un événement biennal avec le 5èForum des Droits de l'Homme 2013 à Nantes avec les présidents de la Région Pays de la Loire et de Nantes Métropole. Cette dernière institution s'avère être également présidée par le secrétaire nantais de la fédération du parti socialiste: Fabrice Roussel soit un des artisans de Nantes Capitale Verte Européenne 2013 et un partisan du futur aéroport. C'est dans ce sens que la démocratie locale a attribué des subventions au secteur du syndicat des communes de l'aéroport NDDL dont la commune de la Chapelle sur Erdre (Loire-Atlantique) administrée par le Maire (PS) et vice-président de la communauté urbaine Nantes-Métropole : Fabrice Roussel. Pendant ce temps, le Président de région des Pays de la Loire et président du syndicat aéroportuaire qui ne font qu'Un, a demandé à l'élu écologiste Thierry Pradier (EELV) de démissionner de ses fonctions en lui écrivant: « Vous vous êtes volontairement placé en dehors de la majorité régionale entraînant l'abandon de vos missions et de vos désignations »et lui rappelant que dans ce budget« ne figure aucune dépense relative à l'aéroport du Grand ouest ». Puis, jacques Auxiette interroge son conseiller Thierry Pradier, élu de la Région des pays de la Loire : « la cohérence que vous revendiquez tant ne serait-elle pas de vous démettre de votre mandat ? » Toutefois à Nantes : Gare, Rues, médias, journaux des collectivités, quotidiens de la presse locale, …, abri bus de Pascal Bolo sont assaillis des placards des agences de communication, de publicité, de marketing et de management locaux. Ce sont les rares professionnels en plein emploi avec ceux du génie civil pour les petits travaux de voiries des collectivités locales sur impôts en attendant la clé de voûte du travail temporaire : l'aéroport de Notre Dame des landes et ce, sans un plan B.


Démocratie et Aéroport du Grand Ouest : c'est par exemple une lettre co-signée par de nombreux élus de l’Ouest de la France et publiée en pleine page dans Ouest-France et Presse Océan (coût estimé : 190 000€) et dans plusieurs autres de vos journaux. Lettre du Président de région : Jacques Auxiette... « Nous avons choisi cette méthode de communication car nous n’acceptons pas de voir ce projet d’aéroport être totalement caricaturé et dénaturé par l’expression médiatique d’opposants. »


Lettre déposée au Président F. Hollande le 26/12/2012et publiée dans Le Monde, Libération, Les Echos, ainsi que 20 Minutes Nantes et Rennes:


Élus de l’Ouest de la France, nous décidons aujourd’hui de prendre publiquement la parole pour expliquer pourquoi nous voulons que soit construit au Nord de Nantes, sur le sol de la désormais célèbre commune de Notre-Dame-des-Landes, l’aéroport du grand Ouest.

Nous sommes déterminés parce que ce projet aura des retombées immédiates et de long terme pour le développement économique, l’emploi, l’attractivité et le rayonnement internationaldes régions des Pays de la Loire et de la Bretagne, des départements de la Loire-Atlantique, de l’Ille-et-Vilaine, de la Vendée, du Morbihan, du Maine–et-Loire, de la Mayenne, des métropoles et des villes de Nantes, de Rennes, de La Baule, de Saint-Nazaire, …et bien d’autres.

Ce projet a été publiquement débattu à de nombreuses reprises, dans le cadre formel de la déclaration d’utilité publique, mais aussi de celui de toutes les élections locales au cours desquelles nous avons été élus sans jamais cacher notre soutien au projet, bien au contraire. Nous rappelons aussi que ce projet a été débattu lors du « Grenelle de l’environnement », et reconnu comme respectueux des principes de développement durable, notamment car il s’agit de transférer un aéroport existant.

Nous portons une vision du progrès qui est conforme aux aspirations des habitants d’un Ouest dynamique qui se projette vers l’avenir. Le portrait qui est fait de notre territoire par les adversaires de l’aéroport est à l’opposé de ce que nos concitoyens vivent au quotidien.

7 millions d’habitants sont concernés !Et nos régions étant parmi les plus dynamiques de France en matière démographique, elles verront leur population augmenter de 1 500 000 habitants d’ici 2040.

Nous sommes fiers aussi de la qualité de vie qui est celle de nos départements et de nos communes.Fiers d’un environnement préservé que nous contribuons tous les jours à protéger, mais aussi à faire connaître, en France, en Europe et dans le monde. Et si nous assumons la part de nuisances créées par le futur aéroport, c’est que nous savons qu’elles seront bien moindres que celles de l’actuelle plateforme nantaise.

Nous n’acceptons pas de laisser le cœur de la métropole nantaise et plus de 40 000 habitants subir les nuisances quotidiennes d’un survol à basse altituded’avions de plus en plus nombreux, ni de laisser la réserve naturelle du Lac de Grand Lieu menacée par l’aéroport existant dont elle est mitoyenne.

Nous sommes en colère de voir ce projet, qui n’est ni celui d’un parti politique ni celui d’une ville, et encore moins celui d’un seul homme, érigé en symbole d’une lutte idéologique contre le progrès, le développement et la croissance de nos territoires. Aujourd’hui dans l’Ouest, l’aéroport. Demain ailleurs, des projets d’infrastructures ferroviaires, routières ou d’autres équipements publics ?

Nous ne voulons pas que l’on nous dicte notre avenir.Nous avons fait un choix moderne, raisonnable et audacieux. Nous le revendiquons pour nos concitoyens, et demain pour nos enfants.

Soyez assurés, Madame, Monsieur, de notre dévouement le plus sincère au service des habitants de nos territoires.


Jean-Claude Antonini, Président d’Angers Métropole

Jacques Auxiette, Président de la Région des Pays de la Loire et Président du Syndicat mixte aéroportuaire

Joël Batteux, Maire de Saint-Nazaire et Président de la Carene

Frédéric Béatse, Maire d’Angers

Jean-Christophe Boyer, Maire de Laval et Président de Laval Agglomération

Daniel Delaveau, Maire de Rennes et Président de Rennes Métropole

Philippe Grosvalet, Président du Conseil général de la Loire-Atlantique

Pierrick Massiot, Président de la Région Bretagne

Yves Métaireau, Maire de la Baule-Escoublac et Président de Cap Atlantique

Pierre Regnault, Maire de la Roche-sur-Yon et Président de La Roche-sur-Yon Agglomération

Patrick Rimbert, Maire de Nantes

Gilles Retière, Président de Nantes Métropole

Jean-Louis Tourenne, Président du Conseil général d’Ille-et-Vilaine


Parallèlement à la vue de crédits de communication vite débloqués pour un démarrage des travaux avant la commission des pétitions du Parlement européen fixée le 20 mars 2013s'exerce un blocage des crédits des formations professionnelles par l'insertion du programme de 2007. Pression exercée et qui vise un autre élu de la région : Jean-Philippe Magnen (opposant EELV à NDDL) : Manifestation le 18 février 2013 à 13h30 devant l’Hôtel de région organisée pour faciliter la reprise d'un cursus de formation professionnelle « Aujourd'hui, ce programme est remis en cause par des restrictions budgétaires. Les parcours d'insertion sont en danger » commente le réseau des chantiers d'insertion de Loire Atlantique. Notons qu'au 13 juillet 2012, 31 000 personnes sont allocataires du RSA dans le département. D'autres de 2001 à 2007 (les sans abris comme moi-même en 2007) sont fichés sur un listing à Nantes dans les moindres détails. (des données sont-elles remises sous le coude au juge comme par l'avocate adverse en fin de plaidoirie: Me Porcher Moreau au palais de justice à Nantes, le 11 juin 2010 ???) Serait-ce une pratique identique au sujet des violences des forces de l'ordre à Notre Dame des Landes ( violences inavouées mais bien réelles et malheureusement subies selon un rapport de médecin dans le bocage de NDDL) : le procès de Cyril met en évidence le rôle provocateur des policiers en civil. Geneviève Coiffard-Grosdoy. 8 mars 2013.


Avec un autre problème : Un film et des photos ont été confisqués par les gendarmes, ils auraient pu servir de preuve sur les faits. Une photo a été sauvée, que Maître Petit produit, sur laquelle les policiers infiltrés sont parfaitement identifiables dans l’accoutrement qu’ils ont eux-mêmes décrit, sans brassard ou autre identifiant de leur appartenance aux forces de l’ordre. Les propos qu’on prête à Cyril sur l’ARB (dissoute depuis des dizaines d’années) et sur le cassage des flics sont pure imagination, l’importance pour lui de la levée d’interdiction de circuler en Loire Atlantique est primordiale, cette interdiction a pour but d’alimenter la fable que les opposants au projet d’aéroport de Notre Dame des Landes ne sont pas de Loire Atlantique, qu’ils sont des étrangers venus de l’extérieur. Concernant le casier de Cyril, Maître Petit évoque avec sobriété des faits qui n’auraient, affirme-t-il, jamais dû faire l’objet de condamnation.


Résultat du dialogue à la nantaise : création de 12 « groupes ressources » pour « des échanges directs et concrets qui permettent d'avancer et un rendez vous que nous tacheronsde tenir une fois par an » commente Alain Robert (la méthode bénévole de dialogue, d'échange d'informations, de projets et de suggestions entre allocataires et multi-élus). « Entendre directement les personnes concernées nous donner leur avis est enrichissement,poursuit l'auteur de « Leçons de démocratie » … Celapermet aussi de faire bouger les lignes et de changer le regard sur eux, car les allocataires du RSA ont été trop souvent stigmatisé. »


Rappelons qu'après l' aide coup de pouce ( L'aide coup de pouce lui permet de se nourrir mieux : Elisabeth Lefranc, Vice Présidente du CCAS de Nantes), j'attends toujours depuis le 19/10/2012 mon intégration à une formation « éco-construction » dispensée à Saint Nicolas de Redon pour la niche professionnelle eco-habitat en gestation malgré la transition énergétique voulue par le président de la république (Homme également socialiste et actionnaire du pacte écologique ainsi que patron du développement durable lors du 5 éme Forum des Droits de l'Homme au sein de nantes capitale verte de l'Europe 2013 en attendant 2030!).


Rappelons qu'au plan national, le premier budget de l’État (celui de la dette) ne fait l’objet d’aucun débat dans nos assemblées. Il y aurait peut-être là un certain déficit démocratique, que nous sommes bien disposés à tenter de rattraper, avec vous. pétition en ligne : audit-citoyen.org,


Thème 2013du 5é Forum mondial des droits de l'Homme Développement durable - Droits de l’Homme : même combat ? Nantes (France) du 22 au 25 mai 2013 - La Cité, Centre de congrès « DES PRINCIPES UNIVERSELS À L’ACTION LOCALE» POUR UNE PLUS GRANDE EFFECTIVITÉ DES DROITS DE L’HOMME avec une démocratie dite de dialogue citoyen du socialiste : Pascal Bolo. « il faut sauver le soldat Ryan » ou un passage à Canal + dans le supplément de Maïtena Biraben avec le multi élu : Pascal Bolo de la mairie de Nantes. Une intervention médiatique, un dimanche 4/11/2012 après une manifestation contre le projet de résilience économique partielle des socialistes jouant avec les impôts selon un jeu à la nantaise pour le projet pharaonique de NDDL et que des élus locaux se soient attachés aux grilles de la Préfecture. Françoise Verchère, Ronan Dantec, … Parallèlement tout citoyen peut aisément lire dans la com de Nantes : « Cités et gouvernements locaux unisNantes, avec sa métropole, honorera son titre de Capitale verte de l’Europe 2013, nous sommes heureux de vous inviter ày participer et à y contribuer. À cet effet, vous trouverez dans cette brochure les différents sujets qui seront mis en débat pendant cesjournées. N’hésitez pas à faire part de vos propositions d’intervenants, de communications, de vos réalisations... car le Forum deNantes se veut être, avant tout, une rencontre de tous les acteurs tournée vers l’action, vers la mise en œuvre concrète des droitsde l’Homme pour un développement humain durable. Ce Forum est le vôtre. Nous vous y attendons. »


« Mais qui est donc Nicolas Hulot pour parler au nom du Président de la République ? », s’étonne Jacques Auxiette, président de la Région des Pays de la Loire suite aux propos tenus par l’ancien animateur télé dans les colonnes de l’Express au sujet de l’aéroport du grand Ouest. « Je n’accepte pas qu’un « envoyé spécial du Président » s’érige en commentateur de supposés états d’âme présidentiels sur l’aéroport. François Hollande candidat aux primaires socialistes, puis candidat à l’élection présidentielle, et maintenant Président de la République, a toujours été très clair quant à son soutien au projet »insiste Jacques Auxiette. Il (Jacques Auxiette ) indique par ailleurs sa disponibilité pour rétablir auprès de tous les interlocuteurs élyséens utiles la vérité sur le transfert de l’aéroport de Nantes-Atlantique et précise: «devenu représentant du Président de la République, Nicolas Hulot garde sa liberté de parole, mais il n’a pas le droit de continuer à véhiculer des contre-vérités. Il est très exagéré et démagogique de réduire le futur aéroport à un «sacrifice» de terres agricoles (et d'élevage bovin), …

Parallèlement, je revois ma poignée de main avec le maire de Laval Guillaume Garot : ex-Porte parole de la candidate 2012: Ségolène Royal (partisane d'un moratoire au cinéma Katorza au sujet de NDDL) à Nantes, «salle de l'égalité ». n'est-il pas devenu entre temps, Ministre du « Bien manger, une affaire de goût» : magazine N°117 du département Loire Atlantique, avec le Ministre de l'agriculture : Stéphane Lefoll à l’Hôtel de région des Pays de la Loire. (tous deux en photos avec le président: J. Auxiette et C. Clergeau)

LA VOIE DE L’ACTION POLITIQUE LOCALEet ses douze (12) chapitres de la charte-agenda

01. Droit à la Cité.

02. Droits à la démocratie participative.

03. Droit à la paix civile et à la sécurité dans la Cité.

04. Droits à l’égalité des femmes et des hommes.

05. Droit des enfants.

06. Droit aux services publics de proximité.

07. La liberté de conscience et de religion, d’opinion et d’information.

08. Droit à la liberté de réunion, d’association et de créer un syndicat.

09. Droits culturels.

10. Droit au logement et au domicile.

11. Droit à l’eau et la nourriture.

12. Droit à un développement urbain durable.


Sous le titre Développement durable – Droits de l’Homme : même combat ? le Forum 2013 se propose d’interroger le concept de développement durable à la lumière du droit international des droits de l’Homme près d’un an après la conférence internationale de Rio+20. Il s’agira de vérifier et de réaffirmer, le cas échéant, la nécessité d’un développement durable qui soit respectueux des droits de l’Homme afin d’assurer un véritable progrès social et un développement juste, dans un cadre démocratique renforcé et un environnement protégé.


Démocratie et socialisme :

SOCIALISME : Brève définition - Équipe Perspective Monde

http://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMDictionnaire?iddictionnaire=1633


D'une manière plus générale, le socialisme constitue une revendication pour un État interventionniste : régulation, nationalisation, protectionnisme. L'État, selon cette logique, permettrait une distribution plus égalitaire que le marché.


Socialisme: Terme qui désigne une idéologie de gauche proposant la propriété collective des moyens de production. Dans un régime économique socialiste, l'État est propriétaire des usines, des manufactures, des grandes surfaces agricoles de même que des moyens de communication et de télécommunication. Le socialisme s'oppose au capitalisme, régime dans lequel les moyens de production appartiennent généralement à des entrepreneurs privés (capitalistes). Dans un régime socialiste, les échanges sont régulés en fonction d'une économie planifiée; dans un régime capitaliste, les échanges sont déterminés par le marché.

Socialisme: définitions


Historiquement
, le socialisme, comme doctrine et idéologie, s'est développé au cours de la première moitié du XIXe siècle. Dès ce moment, le terme «socialisme» se veut une opposition au libéralisme axé sur les libertés individuelles et en particulier celles liées à la propriété; on oppose alors le social à l'individu. Le socialisme se démarque aussi dans la mesure où il estime que les solutions aux problèmes ne sont pas que politiques. Aux yeux des premiers socialistes comme Proudhon, Saint-Simon et Fourier, un changement institutionnel et le suffrage universel sont considérés comme grandement insuffisants; ici, on oppose le social au politique. De 1864 à 1870, en Europe, en France et en Allemagne en particulier, différentes écoles socialistes vont s'affronter pour s'achever par la victoire du marxisme.


Le socialisme, dans la tradition marxiste, constitue une phase transitoire vers le communisme. Dans le socialisme, la propriété publique est assumée par l'État. Dans le communisme, l'État est aboli et l'activité économique est gérée par la communauté elle-même. Aucun pays dirigé par un Parti communiste (URSS, Chine, etc.) n'a prétendu avoir atteint le stade du communisme. Les autorités de ces pays ont soutenu se situer toujours dans la phase du socialisme, d'où une certaine ambiguïté des désignations.


Au plan politique, le socialisme a été associé à des régimes très différents, voire opposés. Dans certains cas, le socialisme s'est combiné à un accroissement des libertés (libertés syndicales, accès à l'éducation, programmes sociaux). Certains utilisent d'ailleurs le terme social-démocratie pour désigner ce type de régime. La Suède pendant les années 1970. Dans d'autres cas, l'instauration du socialisme a mis fin à la démocratie et aux libertés de base. C'est le cas de l'Union soviétique, mais aussi des régimes d'Europe de l'Est (1945-1989), de la Chine et de Cuba.


Socialisme et le président Hugo Chávez : « Donne-moi ta couronne, Jésus Christ, donne-la moi, que je saigne, donne-moi ta croix, 100 croix, que je les porte. Mais laisse-moi la vie, parce qu'il me reste des choses à faire pour ce peuple et ce pays. Ne me reprends pas encore. » Déclaration faite lors d'une messe célébrée le 5 avril 2012 pour la santé du président. "à ceux qui me souhaitent la mort, je leur souhaite une très longue vie pour qu’ils continuent à voir la Révolution de bataille en bataille et de victoire en victoire." CHAVEZ (1954-2013) « Je suis chrétien et je pense que le socialisme doit se nourrir des courants les plus authentiques du christianisme. » Hugo Chavez : « Nous avons assumé l’engagement de conduire la révolution bolivarienne vers le socialisme et de contribuer à la construction du socialisme, avec un nouveau socialisme, le socialisme du XXIe siècle, basé sur la solidarité, la fraternité, l’amour, la justice, la liberté et l’égalité », a affirmé Chavez dans un autre discours au milieu de 2006. Ce socialisme n’est d’ailleurs pas prédéfini. Au contraire, dit Chavez, nous devons « transformer le mode du capital et aller vers le socialisme, vers un nouveau socialisme à construire tous les jours » Conférence Enlaces Alternativos, Vienne, 13 mai 2006 (www.gobiernoenlinea.gob.ve).


« Parmi les éléments qui pourraient définir le socialisme du XXIsiècle, je dirais que la première caractéristique est l’élément moral. Il faut commencer par cela, par la conscience, par l’éthique. Le Che a beaucoup écrit sur la morale socialiste. Quelle que soit la vision du monde que l’on a, il faut nous réapproprier le sens éthique de la vie. Ce que je dis là tient sans doute beaucoup du christianisme : « Aimez-vous les uns les autres » ou « Aimez votre prochain comme vous-même ». En réalité, il s’agit de ceci : de la solidarité avec le frère. Il s’agit de la lutte contre les démons que le capitalisme a semés : l’individualisme, l’égoïsme, la haine, les privilèges. » Hugo Chávez.


Lors d'un discours, il a déclaré que l’Église catholique ainsi que d'autres courants essayaient de manipuler le christianisme pour en faire un opium du peuple mais qu'au Venezuela la religion chrétienne restait l'énergie du peuple et qu'elle était source de justice sociale, de lutte pour la dignité de l'être humain, d'égalité et de liberté. Le Christ était-il socialiste ? Oui sous sa forme humaine (main droite), non en qualité de Fils de Dieu (main gauche): César à César et Dieu à Dieu.